Amis lecteurs, amies lectrices, vous êtes solennellement et humblement prié(e)s d'avoir l'obligeance de vider le cache de votre navigateur afin de découvrir les quelques menus coups de balayette
de-ci de-là dans le but avoué de dépoussiérer ce blog(1), blog qui, mine de rien, devient relativement vénérable au vue de la moyenne d'existence des pages sur internet, hein, quand
même, quand même, et, de plus, qui vous permettra de re-découvrir des articles à nul autre pareil dans les menus déroulants ci-dessus que je vous invite instamment à feuilleter, alors que, lisant
péniblement ces lignes, vous constatez également que décidément c'est pas demain la veille que vous lirez des phrases simples et courtes sur ce pu*** de blog pour lequel vous avez malgré tout une
indéfectible tendresse, ta-ta-ta, ne niez pas, vous rougissez, bande de timides.