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Whouf, man

Ceci est un chien.


Si si.


L'espèce de serpillière sous cocaïne, là, c'est un chien.




Là, ça se voit mieux : c'est en fait un chien rasta. Peace, dog, com'on, yeah.


 

En réalité, c'est un puli, un berger hongrois, chien rare, à propos duquel on se demande s'il n'a pas été exporté en Jamaïque, donnant certaines idées capillaires à qui l'on sait.

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D
<br /> <br /> ola mr baweur,<br /> <br /> <br /> c est en cherchant une photo de pulli (quel idee de chercher un truc improbable pareil) que je suis tombé sur ton blog qui effectivement sert a que dalle mais c est un vrai régal. continue sur ta<br /> lancée<br /> <br /> <br /> <br />
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P
Cher Djac, je suis au regret de l'affirmer haut et fort (*) :il est navrant de voir dans votre commentaire tant de mauvaise foi s'étaler, en couche épaisse, sur un fond d'ignorance aussi poisseuse.Passe encore que vous mettiez en cause mes compétences, pourtant planétairement reconnues, en matière de puli.Mettons cela sur le compte de la préférence féline - je pourrais d'ailleurs vous enseigner quelques utilisations, anorthodoxes mais étonnament musicales et déridantes, de nos amis les chats, inspirées librement, entre autres, du montage des oeufs en neige; ... là n'est pas la question.Je me dois surtout, ainsi qu'à vos lecteurs temporairement abusés, de détisser la bâche de contre-vérités que vous prétendez étendre sur le champ coloré du vrai savoir zoologique.........Je vous cite : "tout porte à croire que les japonais n'ont jamais atteint Budapest. "Que voilà une affirmation regrettable !C'est en effet méconnaître totalement l'étymologie même du mot. "Budapest" vient, justement, et je l'espère à votre grande honte d'ici quelques lignes, du japonais (mot composé)武断    【ぶだん】   ("budann"), qui signifie "militarisme",etぺすと      ("pesuto"), mot dérivé du français "peste", comme par hasard.Autrement dit, "la plaie du militarisme".Ne vous soupçonnant pas de sympathies guerrières particulières, malgré votre pseudonyme, je ne peux que vous accuser d'ignorance naïve sur ce point de linguistique comparée (pourtant élémentaire). Et on ne fera croire à personne que c'est en Hongrie que les japonais ont pu emprunter un mot de notre belle langue française... .........Poursuivons - je cite encore : "... du général de l'armée hongroise Belà Szàbò "il ne passeront pas, ces faces de citron"."Citation injurieuse mais exacte, je vous l'accorde, cependant le bon général se mit ce jour là le pied dans l'oeil jusqu'à la Chine, si j'ose dire.Les japonais ne l'avaient pas attendu pour envahir jusqu'à l'Islande, en passant par la Lorraine, malgré les Szabo ...Soyons sérieux : la présence japonaise en Europe est dûment attestée par tous les historiens compétents, ce depuis le VIIème siècle. Tout le monde (sauf vous, peut-être ?) sait par exemple que le surnom de "Pépin le bref" lui vient - est-il bien nécessaire d'expliciter ce jeu de mots aux nauséabonds relents d'antijaponisme primaire ? -  de sa procréation, en Austrasie, par Charles Martel avec sa maîtresse nippone Rotrude de Trèves, dont le nom est une francisation de ロトルア   で とる はque l'on pourrait traduire approximativement par "capturée à Rotorua".Je crains aussi devoir vous apprendre également que Rotorua est située en l'actuelle Nouvelle-Zélande, jusqu'où les conquêtes de Charles Martel l'avaient conduit en 715 (avant la contre-offensive fulgurante des Sarrazins)..........Encore vous : "Le puli soufflé en lampe japonaise a donc été vraisemblablement introduit depuis la Pologne, et on reconnaît là tout l'humour noir et désespéré du polonais - et d'ailleurs, faut-il être bourré pour avoir l'idée de souffler dans un puli."Dois-je d'abord vraiment faire remarquer que rapprocher ainsi les mots "polonais" et "humour" a autant de signification que d'associer "alto" et "pulsation" - pour prendre l'exemple le moins risible ... (j'aime me faire des amis)Passons. En ce qui concerne le soufflage du puli, que vous semblez donc contester, plusieurs manuscrits, comme la tradition orale moldave d'ailleurs, l'attestent néanmoins; mieux, l'opération est décrite en détail par un rouleau japonais de l'époque (autant pour vos théories négationnistes ... !!), conservé dans les collections du musée canin de Comrat : après insertion d'une canule reliée à un soufflet de forge dans les voies naturelles de l'animal (adulte), il suffisait d'une petite équipe de quatre à cinq personnes actionnant très rapidement et d'un seul coup ledit soufflet. Il existe même, pour ajouter à votre honte, un terme japonais spécifique : "fui-sei", de不意    【ふい】     ("fui"), qui signifie "abrupt", "inattendu", "soudain"et所為    【せい】    ("sei"), que l'on traduira par "cause" ou "raison"... mais je suppose que vous n'aviez jamais non plus entendu parler du "puli fui-sei" ...J'arrête là cette démonstration, par mansuétude essentiellement.Pour compléter (Umanimo) : le puli, étant dépourvu d'ailes fonctionnelles, nidifie à même le sol, de préférence sur des routes anciennement ou mal goudronnées --> les célèbres "nids de puli".Avec l'expression de mes canaux déférents.(*) ce qui, sur certain instrument que je ne nomme pas, cause toujours un problème ...
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D
"Les collections du musée de Cahul, en Moldavie, contiennent un rarissime exemplaire de puli soufflé, transformé en lanterne japonaise."Ce point est largement contesté, et je m'étonne qu'un soi-disant spécialiste du sujet n'a pas la simple honnêteté intellectuelle d'indiquer que sur ce point, rien n'est moins certain.On voudrait nous faire croire, en se servant du puli, que les japonais aurait atteint la Hongrie lors des grands invasions du XVIe siècle. Or si la présence japonaise est avérée en Pologne dès la seconde moitié du XIV, comme l'atteste le goût commun pour la soupe (même si la situation agricole de la Pologne a fait préférer la betterave au miso), tout porte à croire que les japonais n'ont jamais atteint Budapest. On connaît tous les paroles du général samouraï Mitsuhirato "on va les aplatir, ces magyars bouffeurs de somlói galuska" ; mais il a fallu les travaux de Ferenc Gabor de l'université de Histoire Culinaire comparée de Budapest pour qu'on retrouve dans des manuscrits jusque-là oubliés cette citation du général de l'armée hongroise Belà Szàbò "il ne passeront pas, ces faces de citron".Le puli soufflé en lampe japonaise a donc été vraisemblablement introduit depuis la Pologne, et on reconnaît là tout l'humour noir et désespéré du polonais - et d'ailleurs, faut-il être bourré pour avoir l'idée de souffler dans un puli.C'est par contre bien en Hongrie qu'a été inventé la fibre de puli, autrement appelée puliamyde, et diffusée maintenant avec le succès qu'on sait.
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U
Hum! J'avoue être très intéressée par la nidification du puli.
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P
Quelques réponses aux nombreuses questions des commentateurs :- entretien : par centrifugation (400 tours/minute minimum) en milieu clos, sous atmosphère brumisée d'eau de javel, suivie de la résection des 5 derniers millimètres. Le produit de coupe, impropre à la consommation même animale, doit impérativement être tenu à distance des aliments, des femmes et des nourrissons, et être de préférence incinéré dans les 8 heures.- utilisation : nulle tant que l'animal est vivant. Par contre, après le décès (voir point précédent = entretien), les utilisations sont nombreuses:* La plus fréquente, devenue traditionnelle dans les grandes demeures des carpathes, est le nettoyage par pendulation. L'animal une fois éviscéré doit être soigneusement lesté - les connaisseurs préconisent l'emploi d'une mousse type polyuréthane dans laquelle on injecte du mercure si on a des moyens, et des résidus d'industrie sucrière ou des boues de décantation sinon - puis suspendu de façon fiable - ici, l'artisanat local employait jusqu'au début du XXème siècle les boyaux tressés de l'animal ou d'un ancien propriétaire - au plafond de la plus haute pièce du château. Le fonctionnement est tout bêtement celui du pendule de Foucault, et la dépense en énergie est nulle pour l'heureux propriétaire.* Après épluchage et teinture violette, les enfants bulgares utilisent le pelage de l'animal comme déguisement rituel pour Halloween, depuis le quatorzième siècle.* Les collections du musée de Cahul, en Moldavie, contiennent un rarissime exemplaire de puli soufflé, transformé en lanterne japonaise. Cet ouvrage artisanal typique de ces régions (Gagaouzie principalement) combine l'esthétique et l'utilitaire puisque :     - après soufflage, la viande était préalablement consommée sous forme de plat familial traditionnel (fondue gagaouze),     - pour des raisons évidentes, l'animal devait être tondu, sinon la diffusion de la lumière est faible; d'où récupération des poils pour les non moins traditionnelles garnitures de sous-vêtements,     - l'effet visuel obtenu après tannage et mise sous pression est du dernier chic,     - dans ces régions fréquemment inondées, la lanterne pouvait se transformer en canot de sauvetage biplace, comme dans le conte célèbre "Le chasseur vérolé",     - enfin, quand la bête éclatait au soufflage (25 bars minimum), on récupérait toujours au moins une descente de (pu)li(t).J'espère que ces précisions vous auront été utiles, et me tiens à disposition pour répondre à toute autre interrogation (nidification du puli, etc ...)
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