(désolé pour le temps de chargement des images, c'est souvent long, c'est chiant)
Pis d'abord, au Jardin des Plantes, y'a des fleurs et des coin-coin. Je sais que cette révélation vous époustoufle et que vous avez du mal à y croire, mais pourtant il est bon de s'émerveiller des trucs parfois les plus couillons.
D'abord, ces quelques fleurs, presque d'une certaine indécence, à force...
Et voilà probablement l'événement le plus marquant de la vie de ce blog. Une sorte d'acmé dans les prouesses, pourtant déjà étonnantes et poussées à l'extrême, de cet espace du web.
Il s'agit d'un reportage sur le vif, un reportage haletant et plein de vérité vraie, pour lequel le photographe n'a pas hésité à affronter les bêtes sauvages face à face, les yeux dans les yeux, affrontant la mort, beau dans sa peur tel un pompier face au feu, à peine séparé d'une rembarde toute riquiqui par dessus laquelle les terribles volatiles assoiffés de sang auraient pu sauter d'un simple coup d'aile aisément.
Attention, ces images peuvent heurter les âmes les plus sensibles, il est recommandé d'éloigner les enfants de l'ordinateur, si vous ne voulez pas les voir durablement rencontrer de terrifiants cauchemars toutes les nuits et se taper vingt ans de psychanalyse quand ils seront grands.
Retenez votre souffle. Voici la vie sauvage, cruelle, sans pitié, dans sa nudité la plus crue.