Détail

    Sympathiques et bien-aimés lecteurs, je viens de constater, après un essai dû à ma curiosité insatiable, qu'internet explorer (au moins celui sur Mac) s'obstinait à ne pas afficher mes bannières ébouriffantes et originales, tout en haut, au-dessus de «le blog qui sert à que dalle».
    Si jamais c'était votre cas, sachez qu'en changeant de navigateur le problème disparaît en même temps que la bannière apparaît, comme par enchantement.
    Vous me direz, c'est un détail : certes, mais parfois, tout tient à un détail.
    Si son grand frère ne lui avait pas pincé les fesses devant les filles ce jour d'avril 17., Napoléon se serait-il vengé plus tard en changeant la face de l'Europe ?
    On peut en douter.

Comments

[Christophe]

Je ne sais pas. En tabt que garçon, je ne mange pas de nutella. Et ayant un mac, je ne me sens pas humain mais surhumain.

cay

[mebahel]

Vivent les macaddicts.
Si on les croise avec les nutelladdicts
...ça fera une race d'humains particulièrement réceptifs à l'altesse. Remarque, il semble que ce soit déjà ce qui nous réunit ici.


CLX (ajoutez le i le m et le a)

[Christophe]

De toutes façons, Explorer n'a rien à faire sur un mac. Au pire, il y a Firefox, mais sinon c'est Safari le roi, même s'il n'a pas toutes les fonctionnalités java. Mieux vaut un vrai logiciel mac pourrave mais beau qu'autre chose. C'est un principe inextinguible.

En tout cas, je me sens de mieux en mieux sur ce blog, avec tous mes congénères macophiles, apparemment.

sqj

[Ardalia]

La preuve qu'un frère, c'est parfois très, mais alors très con...

[mebahelmeroowwww]

Ah cet ours.
..depuis qu'il est là il me fiche un coup de nostalgie à chaque coup d'oeil, et je prends un coup de vieux. (mais Ouille, quoi)
Car il a pile poil (et c'est le cas de le dire) la position favorite de ma chatte précédente,càd avant celles dont je vous cause de fois à autres, une persanne croisée gouttière, un mélange improbable et fastueux point de vue pwals zet couleurs.
Et, donc, qui s'affalait ainsi sur les bras de mon canapé (larges et arrondis et confortables et pneumatiques) et en étendant les siens, je veux dire ses pattes, mais les quatre, bien sûr.
Ce qui manquait de glamour, anthropomorphiquement parlant, mais donnait une impression d'aplatissement maximal et d'épousailles ventrales voluptueuses avec la forme arrondie sus citée.
En clair, ça en faisait une vraie serpillière à poils longs, mais qui mordait si on tentait une moquerie un peu appuyée (entendez, un geste câlin).
Oui, c'était une tigresse, celle -la.
Il n'y avait que moi à pouvoir la manipuler et encore, avec des arguments croquants.

XBP (là, je sèche.)